Définie par l'Organisation des Nations Unies comme “un terme générique utilisé pour décrire un large éventail de variations corporelles naturelles”, l'intersexuation désigne le fait de posséder des caractères sexués qui ne correspondent pas aux normes médicales binaires “masculin” ou “féminin”. Les personnes intersexes peuvent présenter des caractéristiques anatomiques et/ou physiologiques des deux sexes, des traits pas tout à fait féminins ou masculins, ou ne correspondant à aucun des deux.
Les personnes ne présentant pas de variations des caractères sexués sont qualifiées de "dyadiques" ou "endosexes".
Les caractères sexués incluent tous les éléments anatomiques ou physiologiques liés au sexe. Ils comprennent :
En collaboration avec les Maisons Arc-en-Ciel et nos associations membres, Prisme a co-construit un mémorandum comprenant dix axes de revendications pour une meilleure intégration des thématiques LGBTQIA+ dans l'éducation et la formation. Notre premier dossier thématique porte sur l'axe « éducation et formation » et aborde deux volets clés : l'éducation et la formation des professionnel·les.
Nous nous concentrerons en premier sur le cas de l'EVRAS.
En collaboration avec les Maisons Arc-en-Ciel et nos associations membres, Prisme a co-construit un mémorandum comprenant dix axes de revendications pour une meilleure intégration des thématiques LGBTQIA+ dans l'éducation et la formation. Notre premier dossier thématique porte sur l'axe « éducation et formation » et aborde deux volets clés : l'éducation et la formation des professionnel·les.
Pour le volet santé mentale et physique, nous avons souligné plusieurs points essentiels : l'universalisation des soins invisibilise les besoins spécifiques des personnes LGBTQIA+, la formation des médecins sur ces thématiques reste insuffisante, et une distance critique face aux savoirs médicaux manque cruellement.
En collaboration avec les Maisons Arc-en-Ciel et nos associations membres, Prisme a co-construit un mémorandum comprenant dix axes de revendications pour une meilleure intégration des thématiques LGBTQIA+ dans l'éducation et la formation. Notre premier dossier thématique porte sur l'axe « éducation et formation » et aborde deux volets clés : l'éducation et la formation des professionnel·les.
Pour le volet magistrature, avocats et police, nous avons mis en avant les enjeux suivants : les discours de haine présentent des complexités et défis importants, la formation et la spécialisation des professionnel·les sont des nécessités incontournables.
Ce 19 septembre, un sketch diffusé par la chaîne publique belge Tipik, dans l'émission “Le Grand Cactus”, parodiait la chanson "Le 3ème Sexe" du groupe Indochine. Reprise en duo en 2020 avec le chanteur queer Rahim Redcar (Christine and the Queens au moment de la sortie de la chanson), le sketch met en scène deux acteur·rice·s cisgenres, incarnant Nicola Sirkis et Rahim et interprétant le titre "128e sexe", ridiculisant les identités de genre trans et non-binaires, dans leurs paroles.
“Garçon, fille ou thé à la menthe
Peu importe, je suis non genrée”
“Je suis une bille ou un héron
Moi un lapin qui se sent poisson”
“ Et on ne comprend pubien (bis)
Je suis une tranche de pain”
Ces mots ne font que renforcer l'idée que les identités de genre en dehors du spectre binaire sont absurdes.
Une plainte a été déposée auprès du CSA et de l’IEFH.